TARANTOLA Arnaud

Médecin sénior en parasitologie – longue expérience dans le diagnostic et traitement du paludisme (Sorbonne, AP-HP, UMRS 1136 iPLESP

  • Arnaud Tarantola a passé son enfance en Afrique et en Asie avant d’accomplir ses études de médecine en France. Après une expérience de médecine libérale, il a travaillé en recherche clinique en diabétologie puis pendant plusieurs années dans l’étude et la prévention des infections professionnelles dans des hôpitaux français et africains.
  • Il a rejoint le département international de l’InVS en 2003 avec une spécialisation sur les systèmes d’alerte précoce – y compris dans les Balkans, en Afrique et en Amérique latine – et contribué au système français de renseignement épidémique.
  • De février 2011 à août 2016, Arnaud Tarantola a dirigé l’unité d’épidémiologie et de santé publique à l’Institut Pasteur du Cambodge à Phnom Penh, Cambodge. Arnaud Tarantola a été membre du Conseil Scientifique du Programme Defeat Dengue du Réseau International des Instituts Pasteur et du Groupe de Travail Stratégique d’Experts (SAGE) de l’OMS sur les vaccins et les immunoglobulines antirabiques.
  • Du 1er septembre 2016 au 30 août 2019, Arnaud Tarantola a dirigé l’unité d’épidémiologie de l’Institut Pasteur de Nouméa en Nouvelle-Calédonie. Son mandat était de mettre en œuvre des recherches pertinentes pour la population Néo-Calédonienne, ciblées sur les maladies infectieuses mais aussi sur le microbiome, la génomique et la réponse hôte-pathogène.
  • Du 2 septembre 2019 au 31 décembre 2020, A. Tarantola a été épidémiologiste médical et chercheur à l’unité d’épidémiologie et de neuropathologie des lyssavirus et au Centre collaborateur de l’OMS pour la recherche sur la rage, Institut Pasteur, Paris, France.
  • Depuis janvier 2021, Arnaud Tarantola est coordinateur de la Cellule Régionale de Santé Publique France pour la Région Île-de-France.

 

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    Arnaud Tarantola est médecin de formation, a obtenu un MSc en épidémiologie à la London School of Hygiene and Tropical Medicine en 2003, une thèse de science en épidémiologie à l’université Paris-Sorbonne en septembre 2018 et une habilitation à diriger la recherche en 2019 à l’université de la Nouvelle-Calédonie.